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À ce stade de la pandémie, c'est assez probabletu as eu covide au moins une fois, comme les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont estimé qu'il y avait plus que83 millions d'infections au coronavirus Aux États-Unis seulement, ce qui se traduit par environ 60% de tous les Américains. Notre pays a également atteint la tragique étape d'un million de décès coiffés, tandis que les infections et les hospitalisations augmentent une fois de plus. Depuis la fin de 2020, cependant, les experts en virus ont continué de pousser une stratégie de protection majeure: la vaccination.

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Les vaccins covidés se sont révélés remarquablement efficaces, en particulier lorsqu'il s'agit de prévenir l'hospitalisation et la mort. Mais les experts ont également déclaré que les vaccins ont des pouvoirs de protection au-delà. Selon le CDC, les personnes non vaccinées pourraientêtre également plus à risque de développer des symptômes qui ne disparaissent pas que ceux qui ont reçu leurs photos. Ce problème persistant est connu sous le nom de longue covide et couvre un large éventail de problèmes de santé à long terme, y compris la fatigue, la fièvre et le brouillard cérébral, mais les chercheurs travaillent toujours à comprendre la portée complète de la condition.ae0fcc31ae342fd3a1346ebb1f342fcb

Le US Government Accountability Office (GAO) dit qu'il est estimé que partout7 à 23 millions de personnes Dans le pays, il a déjà développé une longue covide. Le nombre est difficile à identifier, car une longue covide n'est pas facile à diagnostiquer. "Il n'y a pas de test pour diagnostiquer les conditions post-couvernes, et les gens peuvent présenter une grande variété de symptômes qui pourraient provenir d'autres problèmes de santé.

Mais bien que l'on pensait que les vaccins offraient une protection significative contre la longue covide, de nouvelles recherches jettent désormais le doute. Une étude du Département des affaires vétérans montre que les vaccins peuvent ne pasOffrir une protection substantielle contre les conditions post-confortables.

Les chercheurs de l'étude, qui a été publié le 25 maiMédecine de la nature Journal, a examiné près de 34 000 personnes vaccinées qui avaient eu une infection basse de la percée en 2021 et les ont comparées à environ 113 000 personnes qui avaient été infectées mais non vaccinées, et plus de 13 millions de personnes qui n'avaient pas été infectées du tout. Selon l'étude, les plans covidés précédents pour ceux qui ont des infections révolutionnaires n'offraient que une "protection partielle" contre la longue covide, réduisant la probabilité de symptômes à long terme de seulement 15%.

"Nous sommes littéralement détenus, maintenant presque exclusivement, sur levaccin pour nous protéger Et pour protéger le public, "Ziyad al-Ay, MD, auteur principal et chef du service de recherche et développement au système de soins de santé de St. Louis des anciens combattants, racontéLa nature. "Maintenant, nous disons que cela ne vous protégera que 15%. Vous restez vulnérable, et extraordinairement."

Les chercheurs ont également comparé les symptômes persistants comme le brouillard cérébral et la fatigue chez les personnes vaccinées et non vaccinées jusqu'à six mois après leur diagnostic initial. Selon l'étude, il n'y avait aucune différence dans la gravité de ces symptômes entre l'un ou l'autre groupe.

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Il y avait cependant des limites à l'étude des affaires des anciens combattants, y compris le fait que les chercheurs n'ont pas analysé les infections révolutionnaires pendant la surtension omicron. "Nous n'avons aucune donnée sur la question de savoir si l'omicron provoque une longue covide", "Steven Deeks, MD, chercheur à VIH à l'Université de Californie à San Francisco, a ditLa nature, ajoutant que les résultats "s'appliquent à une pandémie qui a radicalement changé".

Mais dans l'ensemble, les chercheurs de l'étude affirment que "la dépendance à la [vaccination] en tant que stratégie d'atténuation unique peut ne pas réduire de manière optimale les conséquences sur la santé à long terme de l'infection SAR-COV-2".

Heureusement, les experts en santé se tournent déjà vers d'autres solutions. Comme Reuters l'a rapporté en mars, les principaux fabricants de médicaments tels que GlaxoSmithKline, Vir Biotechnology et Humanigène ont déjà commencé à regarder lepossibilité de développer des traitements qui cible la longue covide.

Les scientifiques tentent également de découvrir la cause sous-jacente de la longue covide, ce qui pourrait aider à faire avancer le développement des traitements. "Nous arrivons au stade où nous obtenons du traction, et pour les personnes souffrant, nous faisons tester les traitements", "David Strain, a déclaré à Reuters un professeur de faculté de médecine de l'Université d'Exeter. "J'espère que nous aurons des choses que nous pourrons leur offrir pour ramener leur vie à la normale dans un avenir proche."

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