Cette seule chose pourrait réduire vos anticorps de Pfizer, étude CDC trouve
De nouvelles recherches ont souligné un problème potentiel pour un groupe de personnes vaccinées.
Après plus d'unAnnée de lutte Un virus hautement transmissible et mortel, se faire vacciner contre Covid est un moment de soulagement majeur. Tous les troisVaccins U.S. disponibles-Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson - ont été prouvés très efficaces pour protéger la population générale contre Covid. Mais la population en général ne tient pas compte des conditions ou des facteurs sous-jacents pouvant affecter la manière dont le vaccin fonctionne dans certaines personnes. Dès que davantage de recherches sortons, nous apprenons de plus en plus sur la manière dont certains groupes peuvent produire des niveaux réduits d'anticorps après la vaccination par rapport aux autres dans la population en général. Bien que les chercheurs ne soient pas encore sûrs de la manière dont la réponse des anticorps se traduit par une protection contre le virus, une nouvelle étude a montré que votre âge pourrait être l'un de ces facteurs qui réduisent les anticorps que vous produisez du vaccin contre Pfizer.
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L'étude, qui a été menée par les centres de contrôle des maladies et de prévention (CDC) et publié le 8 juin dans leMaladies infectieuses émergentes Journal, regardéla réponse anticorps chez ceux qui ont reçu le vaccin contre Pfizer. Les chercheurs ont comparé la réponse de 71 personnes âgées âgées d'un âge moyen de 81 ans et 123 travailleurs de la santé en Allemagne de 34 ans de 34 ans.
Selon l'étude, les plus jeunes travailleurs de la santé ont toujours eu des niveaux d'anticorps plus élevés que le groupe plus âgé - même après la vaccination totalement vaccinée, deux semaines après leur deuxième coup. À quatre semaines après la deuxième dose, les deux groupes avaient leurs taux de réponse aux anticorps les plus élevés, mais le groupe plus jeune avait toujours beaucoup plus de tirant que les plus âgés. Les chercheurs ont constaté que plus de 99% des travailleurs de la santé en Allemagne ont montré des anticorps d'IgG réactifs à ce stade, tandis que seulement 91,4% des personnes âgées ont montré la même chose.
Les chercheurs ont noté qu'une "petite fraction des personnes âgées ne faisait pas démontrer une réponse d'anticorps robuste et de cellules T", même à quatre semaines après leur deuxième dose.
«Une vaccination de rappel, une dose de vaccin modifiée ou différents vaccins Covid-19 devrait être envisagée pour les personnes âgées si d'autres preuves démontrent des taux élevés d'infections révolutionnaires malgré la vaccination à 2 doses BNT162B2 (Pfizer)», a conclu des chercheurs.
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Pfizer a déjà travaillé sur un vaccin contre le booster. Au cours d'un événement Axios de May 20, PFIZER PDGAlbert Bourla dit qu'un coup de booster peut êtrenécessaire au début En septembre ou octobre pour certains Américains, en particulier ceux qui étaient au premier tour de vaccinations, comme les personnes âgées. PDG de ModernaStéphanel Bancela fait écho à ce sentiment.
"Les personnes les plus élevées (personnes âgées, travailleurs des soins de santé) ont été vaccinées en décembre / janvier. Donc, je ferais [a] septembre commencer à celles au plus haut risque", a déclaré Bancel.
Toutefois, les adultes plus âgés n'avaient pas seulement réduit les anticorps du vaccin contre Pfizer. Ils avaient également des réponses d'anticorps retardées. À la première semaine après la première dose et juste avant la seconde, une réponse anticorps a été détectée pendant près de 87% des plus jeunes travailleurs de la santé. Mais une réponse n'a pas été détectée pour seulement 30% des participants âgés trois semaines après la première dose, indiquant clairement "un retard substantiel et une réaction d'anticorps réduite globale chez les participants âgés", a déclaré les chercheurs.
Cela brille également une lumière sur un problème de stratégies de vaccination axées sur l'administration générale la première dose d'une série de vaccins à deux doses tout en reportant les deuxièmes doses. "Cette pratique peut laisser une proportion pertinente de personnes âgées avec des niveaux d'immunité relativement faibles pour une période prolongée, soulignant la nécessité d'interventions non pharmaceutiques, telles que l'utilisation des masques et les tests réguliers", a noté les chercheurs dans leur étude.
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