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Comme leDelta Variante Weaks Havoc À travers les États-Unis, nous entendons de plus en plus de personnes sur des personnes testées positives pour Covid malgré tout vacciné. Cesinfections révolutionnaires sont attendus et peuvent arriver à quiconque, selon les centres de contrôle de la maladie et de prévention (CDC). Les touristes de Las Vegas, les invités de mariage et même les responsables de la Maison Blanche ont tous été touchés par des infections révolutionnaires au cours du mois dernier. Mais le risque n'est pas la même chose à travers le conseil: de nouvelles recherches ont constaté que certaines personnes ont un risque considérablement plus élevé d'obtenir Covid après la vaccination.

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Une étude publiée le 23 juillet dans leTransplantation Journal a regardé des infections de Covid parmi les destinataires de la greffe. Les recherches ont analysé des données de plus de18 000 personnes entièrement vaccinées Qui avait des greffes pour de grands organes de 17 centres de transplantation à travers les États-Unis, il y avait 151 infections révolutionnaires chez les patients étudiés. Selon les chercheurs, le risque d'obtenir Covid après la vaccination est de 82 fois plus élevé pour les personnes qui ont eu une greffe.

Sur les infections percées de la transplantation, 87 personnes ont également été hospitalisées et 14 sont mortes. Selon l'étude, cela se traduit par un risque de percée 485 fois plus élevé d'infection à la percée avec hospitalisation et décès associés pour les greffiers. Pour la CDC, la plupart des personnes qui obtiennent des infections révolutionnaires ne devraient pas s'attendre à des complications graves.

Co-auteur d'étudeDorry Segev, MD, un chirurgien de transplantation avec l'Université Johns Hopkins, a déclaréScience magazine que c'est la première étude àfournir des preuves cliniques à travers plusieurs hôpitaux que les bénéficiaires de la greffe sont moins protégés par le vaccin.

"Il s'agit d'un rappel clinique STARK que les patients transplantés sont insuffisamment protégés par la série de vaccins standard", a déclaré SEGEV. Il a ajouté que les patients transplantés devraient toujours obtenir leur vaccin de Covid comme un peu de protection valable que rien, mais devrait également continuer à porter des masques et pratiquer la distanciation sociale.

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Le risque accru d'infections révolutionnaires parmi ce groupe peut être parce que les médicaments immunosuppresseurs, qui sont couramment utilisés pour maintenir le corps de rejeter un nouvel organe, affectent la réponse immunitaire chez ceux qui les prennent. Une autre étude publiée 5 mai dansJama regardé 472 destinataires de transplantationQui a pris des antimétabolites, un médicament immunosuppressant et a constaté que 57% ne produisaient aucune réponse d'anticorps après la non-dose d'un vaccin contre l'ARNm.

Et tandis que les troisièmes doses n'ont pas encore été officiellement recommandées aux États-Unis pour des personnes immunosuppressées, ils ont montré une certaine promesse. Une étude de 23 juin publiée dansLa Nouvelle-Angleterre Journal of MedicinE a constaté que 68% des bénéficiaires d'organesAnticorps produits après une troisième dose du vaccin anti-pfizer. Une autre étude a publié le 23 juillet dansJama a constaté qu'une troisième dose de vaccin de ModernaAnticorps Kickstartés Pour 49% des patients transplantés rénaux qui n'avaient guère progressé à aucun anticorps après deux doses.

Le 22 juillet, le Comité consultatif de la CDC sur les pratiques de vaccination (ACIP) s'est réuni pour discuter des personnes immunodéprimées ou nonbesoin d'un troisième coup, concluant que "les données émergentes suggèrent qu'une dose de vaccin Covid-19 supplémentaire dans les personnes immunodimensionnées améliore la réponse d'anticorps et augmente la proportion qui répond". Mais le CDC n'a pas encore formellement recommandé cette pratique.

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